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Tous les désirs ne sont pas recevables ou réalisables, mais il nous appartient de les respecter et de leur donner une place, avec l'aide de notre créativité, dans notre imaginaire, pour leur donner la possibilité de ne pas se perdre dans les limbes du désespoir.
Jacques Salomé
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FEMMES ET HOMMES
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents,
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
Bonsoir Françoise !! :-)
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup cette photo !!!!! :-)
Tant qu'il y a du désir il a y de la vie ... quand le désir disparait tout devient soudainement triste.
Chère Françoise tu nous gâtes avec ton blog ! MERCI BEAUCOUP ! :-)
***BISOUS BISOUS BISOUS***
Nancy
Blog :
http://baobab2009.blogspot.com/
Oui Françoise prendre soin de ses désirs, c'est quelque part, prendre soin de soi. Ne pas les entendre, c'est s'assécher. Je t'embrasse fort Grande Soeur.
RépondreSupprimerBonjour, Francoise.
RépondreSupprimerSurtout ne pas négliger les désirs qui tendent vers le bonheur...surtout s'ils peuvent être partagés...
L'illustration crée elle-même le désir de la posséder...Plaisir égoïste...
Tant pis...
Merci beaucoup.
Bonne journée.
Je t'embrasse.
Avoir des désirs, c'est ce qui nous permet de vivre, de rester en vie.. le fantasme nous permet de les vivre, même si nous ne les réalisons pas.
RépondreSupprimerIl fut un temps, pleine de désir, je les ai vécu, dans ma tête, ils ont pris vie dans mon coeur,dans mes nuits, dans mes appels, dans mes courriels, dans mes rêves et c'étaient bon.
La chute est un peu difficile mais...
Bisous
Barbara
ah !! Salomé !!! content de lire une de ses pensées sur la relation humaine qu'il faut cultiver comme un jardin !! j'aime beaucoup cet homme et je le trouve indispensable !!
RépondreSupprimertout ...comme toi Françoise !!
Il est important de tout faire pour que ces désirs là se réalisent...ils en valent la peine!
RépondreSupprimerPeut on trouver le chemin qui mène au pays où vivent nos désirs ?
RépondreSupprimerDésir est-il synonyme de rêve ?
Un désir assouvi reste-t-il un désir ?
Que de questions face à ce désir si cher à nos sens !
Douce nuit Françoise...
Quand j'étais tout jeune, mon père a capturé une immense tortue qui impressionnait tout le monde.Il lui creusa une cuve coulée dane le ciment et cloturée.
RépondreSupprimerChaque jour on lui portait à manger (j'oublie quoi). Sous sa carapace elle ne disait mot, semblait se plaire à son bain gris.
Elle ruminait quelque chose, cela se voyait à ses yeux: le désir.
La nuit, quand tous dormaient, elle grattait son bain de béton... avec ténacité. Tant et si bien qu'elle disparut un bon matin: elle s'était enterrée et résolument s'était dirigée vers la rivière assez loin de notre maison.
Leçon: même si c'est à pas de tortue que nous nous dirigeons vers un désir, si inatteignable semble-t-il être, nous creuserons notre trou pour nous cacher un instant et en sortir rayonnant... le désir enfin accompli.
Si on ne peut pas tous les réaliser, au moins avoir la satisfaction d'avoir essayé.
RépondreSupprimerPasse une belle soirée chère Françoise.
Je t'embrasse très fort.
Merci pour vos visites et commentaires.
RépondreSupprimerJolie ton histoire sur la tortue, Karl.
Belle fin de soirée et douce nuit à vous.
Je vous embrasse.
Très belle photo, belle pensée et belle chanson-il est vrai que je suis FAN de léonard Cohen, que je passe souvent sur mon blog, de façon aléatoire .
RépondreSupprimerMerci de ta visite, Miss_Yves !
RépondreSupprimerBelle fin de soirée à toi.