lundi 31 août 2009

Femmes qui courent avec les loups / 1

Bonsoir à vous, chers lecteurs et lectrices de mon blog !
Me voici enfin de retour, prête pour une nouvelle rentrée ! Eh oui, les vacances ne durent pas in eternam, vous le savez bien vous aussi...
Pendant celles-ci, j'ai écrit, j'ai peint, j'ai écouté de la musique, j'ai marché et aussi, j'ai lu, beaucoup lu. Et entre autres, j'ai lu un livre que toutes les femmes devraient lire - et les hommes aussi également, ce serait même très bien (sourire). Mais vous le connaissez peut-être : "Femmes qui courent avec les loups" de Clarissa Pinkola Estés. Un livre passionnant, que je n'ai pas encore fini de lire d'ailleurs, car je prends le temps. Lorsque j'aime, je prends le temps. C'est ainsi.
Je vous mettrai des extraits prochainement.
Je vous conseille vivement de le lire !




Ci-après, le quatrième de couverture :
Chaque femme porte en elle une force naturelle riche de dons créateurs, de bons instincts et d'un savoir immémorial. Chaque femme a en elle la Femme Sauvage. Mais la Femme Sauvage, comme la nature sauvage, comme l'animal sauvage, est victime de la civilisation. La société, la culture la traquent, la capturent, la musellent, afin qu'elle entre dans le moule réducteur des rôles qui lui sont assignés et ne puisse entendre la voix généreuse issue de son âme profonde. Pourtant, si éloignées que nous soyons de la Femme Sauvage, notre nature instinctuelle, nous sentons sa présence. Nous la rencontrons dans nos rêves, dans notre psyché. Nous entendons son appel. C'est à nous d'y répondre, de retourner vers elle dont nous avons, au fond de nous-mêmes, tant envie et tant besoin. De par sa double tradition de psychanalyste et de conteuse, Clarissa Pinkola Estés nous aide à entreprendre la démarche grâce à cet ouvrage unique, parcouru par le souffle d'une immense générosité. A travers les " fouilles psycho-archéologiques " des ruines de l'inconscient féminin qu'elle effectue depuis plus de vingt ans, elle nous montre la route en faisant appel aux mythes universels et aux contes de toutes les cultures, de la Vierge Marie à Vénus, de Barbe-Bleue à la Petite Marchande d'allumettes. La femme qui récupère sa nature sauvage est comme les loups. Elle court, danse, hurle avec eux. Elle est débordante de vitalité, de créativité, bien dans son corps, vibrante d'âme, donneuse de vie. Il ne tient qu'à nous d'être cette femme-là.

18 commentaires:

  1. Bonjour Françoise
    Je te souhaite une agréable semaine pour ton retour sur la toile.
    Amitiés yves

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  2. Bienvenue pour cette nouvelle semaine. Cette rentrée! Tu sembles, à te lire en forme. C'est bien. Tu seras donc prête pour attaquer ce défi!
    De gros bisous et à bientôt!

    Barbara

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  3. Bonjour, Francoise.
    Eh bien, ce furent de belles vacances...En toi s'est éveillée l'artiste, éveillée, l'intellectuelle,a vibré ta sensibilité...
    Tu reviens, débordante de vitalité...avec un livre qui séduit.
    Bon courage pour cette rentrée.
    Je t'embrasse.

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  4. Je ne connais pas encore ce livre,ça viendra tres bientot.J'avais lu autrefois avec beaucoup de plaisir des ouvrages sur les contes de M-louise VON FRANZ et celui bien sur de Bruno BETTEILHEM.Riches enseignements sur nous meme.BISES a toi

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  5. Bon retour et bonne rentrée Françoise.
    Ah, ce livre ! Il devrait être chez toutes les femmes mais surtout on devrait le relire à petites doses très régulièrement. Il est dans ma table de nuit et je me demande si ce n'est pas lui que je vais emporter pour notre escapade de septembre.
    Mais oui, vous rentrez, nous partons. Normal non ? C'est la chance des retraités de partir à contre-courant.
    Bises Françoise et merci de ta visite.

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  6. Hello Françoise...
    Ce livre est sur mon bureau, sans cesse accessible. J'en ai parlé plusieurs fois sur mon blog.
    Je l'ouvre souvent au hasard et je tombe à chaque fois sur LA page qui est nourriture pour moi aujourd'hui...
    Oui il devrait faire partie des livres indispensables de chaque "femme suavage"

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  7. hey Françoise, c'est moins pour le bouquin que pour Christophe que je sors un peu plus de mon "lit douillet"... cet artiste m'a marqué depuis tout jeune, merci de l'aimer aussi !!
    à très vite !
    ;-Doume

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  8. Merci à vous pour tous vos mots !

    @Oui, Coumarine, j'avais vu que tu avais, toi aussi, parlé de ce livre ;-)

    @Tu as raison, Calliprune, ce livre devrait être chez toutes les femmes.

    @Doume, je ne suis pas fan de Christophe, mais j'aime certaines de ses chansons ;-)

    @Mo, attends donc que je te l'offre... sourire

    @Oui, Barbara, je serai là pour le défifoto... enfin, je pense...

    @Un livre qui séduit, oui, Herbert. A lire aussi par les hommes... ;-)

    @Merci Yves pour tes mots.

    Bel après-midi à vous. Je vous embrasse.

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  9. Bonjour Françoise,

    Je suis une fidèle lectrice de votre blog que j'aime beaucoup.
    Merci pour vos beaux partages qui enrichissent ma vie.
    Je choisis d'écrire sur cet article car le livre "femmes qui courent avec les loups" est mon livre de chevet, mon compagnon de route depuis plusieurs années maintenant !Un livre à lire et à relire !

    Je vous souhaite une belle fin de semaine.
    A bientôt, j'espère.
    Amitiés
    Sissi

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  10. Sissi, merci pour vos mots laissés chez moi, et merci de votre fidélité qui me touche.
    Je crois, moi aussi, que ce livre va devenir mon livre de chevet. J'en suis même sûre.

    Bonne fin de soirée à vous.
    Amitiés.

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  11. ah françoise ! il y a si longtemps!!!je te retrouve au moment ou je vais me replonger dans femmes qui courent...mon livre de chevet depuis des années...il y a tellement à échanger à ce sujet...j'ai lancé un début de recherche dans la rubrique femmes de notre nouveau forum...si ça te dit tu es la bienvenue !!!

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  12. Bonsoir Paisible,
    Je suis contente, moi aussi, de te retrouver ! Il est ton livre de chevet ? Moi, il va le devenir ;-)
    Dès que je le pourrai, je viendrai faire un tour sur ton nouveau forum. J'ai déjà mis son lien dans mes favoris.
    Belle soirée à toi, Paisible ! Et merci.

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  13. J'ai découvert ce livre par hasard à la bibliothèque, il y a quelques années. Le titre m'a parlée, c'est pourquoi je l'ai choisie. Ce livre effectivement m'interpelle. Et aujourd'hui, encore par hasard,une artiste propose une exposition sur ses oeuvres inspirées de ce livre et de la broderie. Encore une fois, je pensais être seule à l'avoir lue, être un peu bête de me poser autant de questions. Volià qu'une artiste arrive et a travaillé sur 2 thèmes que j'aime, ce livre et la broderie que j'ai découvert récemment. De ce fait, je vais le relire et cette fois sans avoir le sentiment de perdre mon temps ou de lire des âneries. En pianotant sur internet au sujet du livre pour découvrir d'autres avis, je découvre votre blog et je suis agréablement surprise que vous aussi ce livre vous parle. Après tous les commentaires, j'ai moins l'impression d'être une extra terrestre.
    Je reviendrais visiter votre blog qui est très intéressant.
    A bientôt
    Sandrine

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  14. Merci de votre visite, Marlena et de votre commentaire très intéressant.
    Bonne soirée à vous.

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  15. Bonsoir,je tombe par hasard sur votre blog en cherchant des extraits du livre "Femmes qui courent avec les loups". Il m'a été conseillé par une amie qui vient de publier un essai : "la femme en sept états"; L'auteur est Dominique ABEL. Elle propose une réflexion personnelle, roman poétique et aussi sociologique où la Femme de son livre se raconte en sept histoires, à travers sept corps.
    Très intéressant, comme votre blog sur lequel je reviendrai chercher des idées de lecture...
    Bonnes lectures,

    Véronique

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  16. Bonsoir Véronique,
    Je note alors ce livre dont vous me parlez.
    Merci à vous, et bonnes lectures à vous aussi.

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  17. J'ai lu ce livre il y a bien longtemps. Bien que séduisant à bien des égards, il m'avait laissé quelque peu perplexe. Je suis tombé récemment sur une analyse critique de ce livre que je souhaite partager avec vous : http://rives.revues.org/554

    Si vous vouliez le répondre, mon email est le suivant : alexandrovitch2@hotmail.fr

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  18. Bonsoir Alexandrovitch,
    J'irai tout d'abord lire cette analyse, et nous en reparlerons, si vous le désirez.
    Merci de votre visite.

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Laissez moi des petits mots,
j'aime tant les lire... :-)

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FEMMES ET HOMMES

Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents,
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?

Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots

Julos Beaucarne