Dire je t'aime à quelqu'un est peut-être la suprême prière humaine.
(Georges Dor)
vendredi 29 avril 2011
jeudi 28 avril 2011
J'veux du soleil !
Une envie subite, comme ça, de soleil !... J'veux du soleil !!!... :-)
Le clip est joli, en plus...Les paroles --> ici
mercredi 27 avril 2011
Dans les vallées aussi, il y a des chemins
Nous ne sommes pas faits pour vivre toujours aux limites de nous-mêmes. Dans les vallées aussi il y a des chemins.
(Jean-Paul Sartre)
(Jean-Paul Sartre)
mardi 26 avril 2011
L'imprévu est souvent le plus constructif
C'est souvent l'imprévu qui modifie le plus le comportement d'un être vivant et, par conséquent, c'est ce qui lui apporte le plus. On constate un grand paradoxe: c'est ce qui est inconnu, non prévisible, non planifié qui est le plus constructif.
(Daniel Mange)
Peut-être parce que cela nous permet de nous dépasser et de réaliser des choses dont on ne se serait pas cru capable si l'on y avait trop réfléchi auparavant...
(Daniel Mange)
Peut-être parce que cela nous permet de nous dépasser et de réaliser des choses dont on ne se serait pas cru capable si l'on y avait trop réfléchi auparavant...
vendredi 22 avril 2011
lundi 18 avril 2011
La vie continue toujours...
La vie avait continué après, la vie continue toujours. Elle te donne des raisons de pleurer et des raisons de rire. C'est une personne, la vie, une personne qu'il faut prendre comme partenaire. Entrer dans sa valse, dans ses tourbillons, parfois elle te fait boire la tasse et tu crois que tu vas mourir et puis elle t'attrape par les cheveux et te dépose plus loin. Parfois elle t'écrase les pieds, parfois elle te fait valser. Il faut entrer dans la vie comme on entre dans une danse. Ne pas arrêter le mouvement en pleurant sur soi, en accusant les autres, en buvant, en prenant des petites pilules pour amortir le choc. Valser, valser, valser. Franchir les épreuves qu'elle t'envoie pour te rendre plus forte, plus déterminée.
(Katherine Pancol - Les yeux jaunes des crocodiles)
Livre que je suis en train de lire...
et qui me parle... beaucoup... :-)
(Katherine Pancol - Les yeux jaunes des crocodiles)
Livre que je suis en train de lire...
et qui me parle... beaucoup... :-)
mercredi 13 avril 2011
Petite escapade...
Petite escapade dans le Périgord, cette fin de semaine.
A bientôt ! Bisous à tous.
A bientôt ! Bisous à tous.
Photo prise sur le net : Sarlat.
lundi 11 avril 2011
La présence
Si on veut transmettre quelque chose dans cette vie, c'est par la présence bien plus que par la langue et par la parole. La parole doit venir à certains moments, mais ce qui instruit et ce qui donne, c'est la présence. C'est elle qui est silencieusement agissante.
(Christian Bobin)
(Christian Bobin)
vendredi 8 avril 2011
Le monde extérieur, le reflet de notre monde intérieur
Tant que l'on n'a pas trouvé intérieurement ce que l'on cherche au-dehors, on passera à côté sans le voir, car le monde extérieur n'est qu'un reflet de notre monde intérieur. Que ce soit la beauté, l'amour, la sagesse, il est presque inutile de les chercher autour de soi si on n'a pas commencé par les découvrir en soi.
(Omraam Mikhaël Aïvanhov)
(Omraam Mikhaël Aïvanhov)
jeudi 7 avril 2011
Un livre, c'est un navire dont il faut libérer les amarres...
Un livre, c'est un navire dont il faut libérer les amarres... c'est un trésor qu'il faut extirper d'un coffre verrouillé... c'est une baguette magique dont nous somme le maître si nous en saisissons les mots...
(Michel Bouthot)
(Michel Bouthot)
mercredi 6 avril 2011
mardi 5 avril 2011
Il faut faire attention aux mots...
Tout le monde dit et répète « je t'aime ». [...] Il faut faire attention aux mots. Ne pas les répéter à tout bout de champs. Ni les employer à tort et à travers, les uns pour les autres, en racontant des mensonges. Autrement, les mots s'usent. Et parfois, il est trop tard pour les sauver.
(Erik Orsenna)
Tout cela pour dire que certains mots en arrivent à être vidés de leur sens, à ne plus avoir ni saveur, ni parfum, ni intensité, à force d'être répétés et utilisés à toutes les sauces. Leur sens premier finit par être banalisé.
Et je rajoute, suite aux premiers commentaires que j'ai eus, que bien sûr que oui ! qu'il ne faut pas hésiter à dire "Je t'aime", si on le pense vraiment et sincèrement !
(Erik Orsenna)
Tout cela pour dire que certains mots en arrivent à être vidés de leur sens, à ne plus avoir ni saveur, ni parfum, ni intensité, à force d'être répétés et utilisés à toutes les sauces. Leur sens premier finit par être banalisé.
Et je rajoute, suite aux premiers commentaires que j'ai eus, que bien sûr que oui ! qu'il ne faut pas hésiter à dire "Je t'aime", si on le pense vraiment et sincèrement !
Inscription à :
Articles (Atom)
FEMMES ET HOMMES
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents,
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne