Blog en pause - Le départ de Jean
Lundi matin, 30 novembre, mon frère, mon grand frère que j'aimais tant, que je chérissais tant, est mort. Il est parti à l'âge de 57 ans, sans prévenir. Rien ne le laissait présager. Il est mort d'une rupture d'anévrisme, 40 ans après mon père, qui lui en avait 59.
Aujourd'hui était le jour de ses funérailles.
Je suis encore sous le choc. Je n'arrive pas à réaliser que je ne le reverrai plus, que l'on ne prendra plus jamais de fous-rires ensemble, qu'il ne me dira plus "Alors, ma petite soeur, tu vas bien ?", que je ne l'entendrai plus jamais jouer de la guitare, ni chanter, et plein d'autres choses encore.
J'ai besoin de quelques jours, quelques semaines, je ne sais encore, pour retrouver le calme en moi, la paix, car ce soir, j'ai encore la rage, la rage, mélangée à une énorme tristesse.
Je vous embrasse très fort, et vous dis à très bientôt.Peinture faite par Mo
FEMMES ET HOMMES
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents,
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
Madame
RépondreSupprimercela fait plusieurs mois que je suis arriver sur votre blog,en surfant comme ça au hasard ,en tapant un coeur qui bat sur mon pc,je me suis mise a vous lire ,et comme vous j' aime Jacques Salomé,puis
vos écris mon tous beaucoup toucher ,et par affection pour votre blog je me suis sentie proche de vos idées , je passe donc régulièrement vous lire,ce soir je suis triste pour vous et votre famille ,la perte d un être cher est une épreuve douloureuse ,surtout quand on est encore trop jeune pour partir vers le grand voyage,
je voudrais vous présenter mes très sincères condoléances a vous et votre famille
fabienne une virtuel du sud
*** Bonjour Françoise, je te présente mes condoléances. Quelle tristesse ! Perdre ton grand frère c'est dur, très dur , il va te manquer et c'est peu de le dire !
RépondreSupprimerJe te souhaite beaucoup de courage. L'infarctus ne t'a pas laissé le temps de lui dire au revoir ... seule chose qui peut-être positive ... ça a été rapide pour lui.
J'espère que je ne suis pas maladroite, je veux juste te dire mon amitié Françoise. GROS BISOUS A TOI ***
Je n'ai pas de mots.. car aucun mots ne peuvent soulager une si grande peine...
RépondreSupprimerSache que ce matin comme les jours qui vont suivre mes pensées seront pour toi et ta famille.
Prends le temps qu'il faut et reviens nous en forme avec le sourire. Tu sais que nous sommes là.
Bon courage ma grande
Milles bisous.
Avec toute mon affection.
Barbara
Tout comme Barbara, mes mots sont impuissants pour exprimer toute la tristesse que je ressens en lisant cette tragique nouvelle. Je ne peux que t'offrir mes plus sincères condoléances, Françoise, pour cette perte cruelle que tu viens de subir.
RépondreSupprimerJe pense à toi et à ta famille en ces moments difficiles... Et la rage dont tu parles, c'est peut-être qu'il s'agit de faire la paix avec la mort... Je ne sais pas, ma belle, mais je crois comprendre un peu...
Nous t'attendrons le temps qu'il faut, Françoise. Pour le moment, il faut surtout que tu prennes bien soin de toi.
Je t'embrasse bien fort et t'envoie toute ma tendresse.
Rosie
Plusieurs fois j'étais passée et ce soir en lisant ton message sur le blog Françoise je suis triste. Triste pour ton frère d'être parti si vite, triste pour toi de ne plus avoir son épaule de grand frère. Mes pensées vont vers toi et ta famille ..
RépondreSupprimerCette douleur je ne la connais pas et je la redoute fort tu dois t'en douter .. oh comme je te comprends.
Prends du temps pour toi, retrouve cette paix, cette douceur que tu sais si bien nous faire partager.
Je t'embrasse .. Emiliane
Françoise,
RépondreSupprimerj'ai passé un très long moment ici ce matin, à écrire un commentaire que je n'ai finalement pas envoyé, craignant d'ajouter à ta peine car je suis nouvelle ici.
Et, en lisant tes billets, il est facile de deviner une personne chaleureuse, aimante, et d'une extrême sensibilité. Alors, prends le temps qu'il te faut pour cette pause, c'est important! La mort est une voleuse, qui frappe souvent par surprise, et nous laisse avec des regrets, en plus de la colère et de l'incompréhension.
Il faut juste laisser faire le temps, pour adoucir la peine et ramener les bons souvenirs, même si c'est cliché de le dire...
Françoise
RépondreSupprimerJe trouve ici toutes les limites "du virtuel". Car je n'ai pas les Mots, sinon que je ne peux que m'associer à ceux écrits ci-dessus.
Non je ne les trouve pas car je voudrais simplement te toucher la main, te serrer dans mes bras, en silence. Jamais été doué pour parler en ces circonstances, sache que je suis avec toi par ma présence, même virtuelle.
Je te connais un peu à travers ce que tu nous livre dans ton Blog. Je sais que tu retrouveras « une certaine paix » et que ton frère sera toujours là mais différemment.
Je t’embrasse très fort. Louis-Paul
Françoise
RépondreSupprimerC'est en lisant ton message que j'ai appris la triste nouvelle.
Prenant part à ta douleur, je présente mes sincères condoléances, à toi et à ta famille.
Amitiés Yves
Merci à tous, merci infiniment. Vos mots me touchent énormément et me réconfortent.
RépondreSupprimerLa rage a fait place aux larmes, des larmes qui coulent sans discontinuer.
Mais j'ai toujours en tête ce mot "inconcevable", je n'ai pas encore accepté, il me faudra du temps...
Encore merci pour vos mots chaleureux et votre amitié.
Je vous embrasse bien fort.
Cette annonce me ramène quelques mois en arrière et réactive en moi ce vide créé. Tu t'imagines combien je comprends ce que tu ressens. Seules mes pensées recueillies et silencieuses montent vers toi et vers cette âme trop tôt disparue.
RépondreSupprimerMERCI MERCI POUR LEONARD COHEN petite soeur
RépondreSupprimer@Oui, Muse, je comprends alors la douleur que tu as pu ressentir, toi aussi.
RépondreSupprimerMerci pour tes mots.
@Mo... oui, cette chanson qui l'a accompagné mercredi...
*** Je passe juste te dire Françoise que je partage ta peine et je renouvelle mon amitié. Prends soin de toi ... meilleures pensées à toi. ***
RépondreSupprimerMerci à toi, Nancy, merci du fond du coeur.
RépondreSupprimer*** Bonsoir Françoise , comme le dit le titre de ton blog "un cœur qui bat" ... ton petit cœur est tout meurtri après le départ de ton frère ... je pense à toi, NOUS, AMIS DE LA BLOGOSPHÈRE PENSONS TRÈS FORT A TOI ... BISES AMICALES ET SINCÈRES ***
RépondreSupprimerBonsoir françoise et bien je suis de tout coeur avec toi et ta famille. Pense à toi et tu sais nous sommes là.
RépondreSupprimerComment exprimer ce que je ressens!?
RépondreSupprimerJe suis absolument désolée...
J'aurais aimé te serrer dans mes bras, très fort, tendrement !
Je suis malheureuse, je suis très triste! Aucun mot ne peut encore te consoler...mais aussi loin que je suis, mes pensées et mon cœur vont vers toi, encore et encore.
Tient bon...pour toi, pour ta famille, pour nous!
On t'aime, vraiment ON T'AIME ! Prends soins de toi...
Merci Nancy, merci France,
RépondreSupprimermerci Jaca
merci pour tous vos mots et votre affection.
Lorsque quelqu'un disparaissait, mon frère disait que ce qui le rendait le plus malheureux, c'était de voir les gens pleurer. Pour lui, je vais essayer de retrouver le sourire, car je sais que c'est ce qu'il aurait désiré, mais c'est dur, c'est comme s'il manquait une partie de moi qui ne sera jamais plus là.
Je vous embrasse bien fort, et encore merci à toutes et tous pour votre présence si réconfortante.
Bonjour, Françoise.
RépondreSupprimerMoi aussi, je suis bouleversé par cette disparition soudaine que rien ne laissait prévoir. Et c'était ton frère. Un si beau regard qui est parti dans le monde des étoiles.
Je ressens profondément ta tristesse immense.
Je suis à tes côtés.
Mes larmes rejoignent les tiennes.
Je t'embrasse très fort.
Merci Herbert, merci pour tes mots, pour ta présence et pour ton amitié.
RépondreSupprimerJe t'embrasse fort, moi aussi.
Ma chère Françoise, je comprends ton immense peine, surtout lorsque cela arrive aussi brutalement, venant de perdre deux beaux-frères recemment, décédés tous deux d'un cancer, cette nouvelle ravive ma tristesse, j'imagine oh ! combien ton frère te manque.
RépondreSupprimerJe t'embrasse très fort, mes pensées sont près de toi et de ses proches.
Avec toute mon amitié.
Je passe te souhaiter une bonne soirée et que dire! Je t'embrasse
RépondreSupprimerBonsoir Françoise
RépondreSupprimerJe passe t'apporter tout mon soutien en ces durs moments que la vie t'impose.
Mes pensées vont vers toi.
Amitiés Yves
Juste passer avec mes pensées.
RépondreSupprimerJe t'embrasse Françoise.
Ce soir, gros coup de cafard... une semaine déjà, et comme il me manque...
RépondreSupprimerMerci à vous tous pour vos mots, votre présence, votre amitié, qui me font du bien, et me réconfortent.
Je vous embrasse.
Françoise, juste quelques mots pour te dire que le portrait est tendre et si beau ! Très bel hommage.
RépondreSupprimerJe t'embrasse fort et je trouve la vie parfois trop cruelle.
Dans cette tristesse, je suis avec toi. Amitiés...
Merci, gentille Nancy.
RépondreSupprimerOui, le portrait est tendre et beau, comme l'était mon frère.
Je t'embrasse fort, moi aussi.
Dans ces cas que dit-t-on ? .. totes mes condoléances... ? Il est si difficile de trouver les mots pour apaiser un tel chagrin . Je te souhaite du courage pour la suite ... Je t'apporte le peu de force qu'il me reste pour affronter la suite et toute la lumière que je peux pour que tes jours à venir ne soient pas trop sombres .
RépondreSupprimerje t'embrasse ma chère Françoise et me joinds à ta peine .
Merci pour tes mots Dragonfly.
RépondreSupprimerLa lumière va revenir, mon frère l'aurait désiré, j'en suis sûre. Il faut juste que j'accepte de le laisser partir, là où il doit aller.
Gros bisous à toi, ma belle.
Juste un petit bonjour amical
RépondreSupprimerMerci France, c'est très gentil.
RépondreSupprimerQuelques lignes en passant, Françoise, pour te dire que je pense à toi en ces moments pénibles et que le portrait de ton frère est tellement lumineux qu'on a peine à croire qu'il est ailleurs...
RépondreSupprimerJe ne sais pas si tu lis l'anglais, mais je me permets de publier ci-dessous un poème qui a été lu par le prête lors des funérailles de ma maman en juin dernier. Bien que la pleure toujours et que j'éprouve énormément de difficulté à la laisser partir, ces mots m'ont beaucoup aidée et je les relis souvent, surtout quand j'ai un coup de cafard... Le voici donc ce poème, ma belle, et j'espère que ces mots t'aideront un peu.
Let Me Go
We’ve known lots of pleasures
At times endured pain
We’ve lived in the sunshine
And walked in the rain.
But now we’re separated
And for a time apart
But I am not alone
You’re forever in my heart.
Death seems always so sudden
And it is always sure
But what is often forgotten
It is not without a cure.
I’m walking now with someone
And I know He’ll always stay
I know He’s walking with you too
Giving comfort every day.
There may be times you miss me
I sort of hope you do
But smile when you think of me
For I’ll be waiting for you.
Now there are many things for you to do
And lots of ways to grow
So get busy, be happy and live your life
Miss me, but let me go.
Je t'embrasse bien fort, Françoise.
Merci infiniment, Rosie, pour ce très beau poème. Mon anglais n'est pas très bon, mais un ami me l'a traduit. Je le mettrai prochainement sur mon blog, avec sa traduction, il mérite d'être lu par tous.
RépondreSupprimerJe t'embrasse très fort.
Je viens de répondre au merveilleux commentaire que tu as laissé chez moi, Françoise, et pour t'éviter des pas inutiles, je reprend mon observation ci-dessous...
RépondreSupprimerMerci d'être passée ici, ma belle Françoise... Tu fais preuve d'un grand courage devant ce qui t'arrive et je suis des plus touchées que tu aies pris le temps de m'écrire ces belles lignes. Il est très difficile, en effet, de laisser partir ceux et celles qu'on aime... Mais, nous quittent-ils vraiment où demeurent-ils dans nos coeurs et dans nos âmes à veiller sur nous? J'aime croire que oui...
Je t'embrasse bien fort, ma belle Françoise et je pense beaucoup à toi en ces moments pénibles, ma magnifique amie virtuelle!
Quant au poème, j'aurais pû le traduire également (je suis traductrice de métier), mais je me sentais trop paresseuse ces jours-ci... J'attends donc que tu l'affiches sur ton blog, ma chérie, mais prends ton temps... Il faut que tu penses à toi et que tu te reposes. Je sais que je fais "grand-maman", mais que veux-tu? Je t'aime beaucoup sans te connaître et ne veux que tu te portes mieux!
Juste un petit bonsoir pour vous soutenir, ce ne sont que des mots, mais je pense à lui et à vous chaque jour, la vie continue, il faut que vous soyez fortes Agnès, Françoise, Monique! Je vous embrasse toutes et tous!
RépondreSupprimer:0) Jacques
Jacques ? mon cousin ?
RépondreSupprimerCe ne sont peut-être que des mots, mais ils réchauffent le coeur. Merci à toi, Jacques.
Oui, la vie continue, tu as raison.
Je t'embrasse très fort.
Rosie, merci infiniment pour tes mots à toi.
RépondreSupprimerOui, je suis persuadée qu'ils restent toujours près de nous, et qu'ils nous protègent.
Je t'embrasse bien fort toi aussi.
Je sais très bien la peine que vous avez actuellement, il n'y a pas si longtemps ma sœur nous a quitté, et j'ai le cœur serré à chaque fois que je pense à elle, il reste les souvenirs, et malgré la tristesse la vie continue. Toutes mes condoléances.
RépondreSupprimerBisous
*** Un petit passage chez toi Françoise pour te dire que je t'envoie des pensées amicales en cette période difficile pour toi et ta famille. GROS BISOUS !!!! ***
RépondreSupprimerBonjour françoise juste un petit bonjour amical ou je pense beaucoup à toi et pendant ces fêtes que je ne fais pas je pense à toi
RépondreSupprimerbonsoir Françoise ...je ne saurais quoi te dire ...j'imagine que tu n'as pas le coeur à parler , à dialoguer en ce moment et je le comprends . je t'adresse toutes mes plus sincères condoléances ... et t'envoie des ondes positives .
RépondreSupprimerJuste passer t'embrasser ma Françoise, t'offrir quelques fleurs, un doux rayon ...
RépondreSupprimerJuste être un peu avec toi ...
Gros bisous
Merci beaucoup à vous, Yvette, Nancy, France, Jerry et Fanzesca.
RépondreSupprimerDeux semaines déjà... oui, la vie continue... la vie doit continuer... et avec elle, l'espoir.
Je vous embrasse très fort.
Je t'embrasse et je pense fort à toi ....
RépondreSupprimerMerci Littlesun...
RépondreSupprimerJe me suis éloignée de la toile, je vous ai dit adieu lors d'un dernier billet sur mon blog.
RépondreSupprimerJe continue, toutefois, de temps en temps, à déposer quelques poussières d'étoiles ici ou là.
En ce début d'année j'étais venue te présenter mes voeux.
Je suis attristée par cette nouvelle et je suis à même de comprendre ta douleur et ta tristesse. Il y a quelques années j'ai perdu mon unique frère... il avait 35 ans.
Mais je continue de le faire vivre au travers des souvenirs.
Ton frère est très beau, ce sont les divines anges qui doivent être
contentes.
Toutes les pensées pour lui seront les plumes qui, virevoltant jusqu'au ciel, consolideront ses ailes à peine naissantes.
Je t'embrasse de tout mon cœur Françoise, je te soutiens dans cette épreuve, sache le.
Merci pour tes mots, Bérénice.
RépondreSupprimerTu as donc perdu un frère toi aussi ? Tu dois alors savoir la douleur que l'on peut éprouver à ce moment-là...
Oui, continuer à les faire vivre au travers des souvenirs, c'est important.
Tes paroles sont belles, Bérénice, et je suis sûre qu'il aurait apprécié de les lire.
Je t'embrasse fort moi aussi.