jeudi 3 mars 2011

Pierre Schott - Les ailes du papillon

Pierre Schott...
C'est mon frère qui me l'avait fait connaître... Il l'aimait beaucoup, et il avait raison... J'ai tous ses albums, sauf son dernier, que je vais d'ailleurs m'empresser d'acheter.
Soirée nostalgie, donc... et émotion...
Prenez le temps de l'écouter, et d'aller visiter son site --> Pierre Schott

5 commentaires:

  1. De la chanson française, comme on aime! Si seulement elle pouvait revenir!...
    Merci de me faire découvrir ce chanteur, qui va m'entraîner sur son site. J'apprécie aussi le décor de cette scène. Bonne journée, Françoise!

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  2. Françoise

    oui, de la chanson Française, je suis comme Richard, j'aime !
    Je ne connais pas ce chanteur, qui semble t'il a une longue carrière.
    Ca me fait penser à Mannick qui a une longue carrière, sans ne jamais passer à la radio ou à la télé.

    Bisous Françoise.

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  3. Bonjour, Françoise.
    Et merci.
    Oui, de la nostalgie.
    La chanson en est l'expression par sa tonalité répétitive...
    Merci beaucoup.
    Bonne journée.
    Je t'embrasse.

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  4. Bonsoir Françoise
    c'est aussi une découverte et une belle découverte car je ne connaissais pas du tout, et cela ne m'étonne aucunement qu etu aimes

    que de belles choses à découvrir avec toi
    merci et belle soirée chez toi et j'espère que petit BB va très bien

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  5. Merci à vous quatre d'avoir pris le temps d'écouter Pierre Schott. Il n'est pas très connu, et c'est dommage, vraiment dommage.
    Oui, Nanou, "les" bébés vont bien, je vais les voir cette semaine (sourire).
    Bonne fin de soirée à vous, et bon dimanche.
    Je vous embrasse.

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Laissez moi des petits mots,
j'aime tant les lire... :-)

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FEMMES ET HOMMES

Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents,
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?

Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots

Julos Beaucarne