lundi 25 juin 2012

Mais vivre sans tendresse...

Mais vivre sans tendresse 
On ne le pourrait pas
 Non, non, non, non
 On ne le pourrait pas 


Paroles complètes de la chanson ici

4 commentaires:

  1. oh Françoise ;-)))

    Comme tu as bien fait de mettre Bourvil "en scène " il me revient pleins de jolis souvenirs ;-))) Mon frère a débuté sa carrière d'animateur radio, ( radio-libre à l'époque donc pas rémunéré !!!!) Pour seuls revenus, il avait les cachets qu'il percevait en faisant des spectacles d'imitations !!! Bourvil était celui qu'il préférait imité ;-))) et puis il imitait aussi L. Zitrone, G.Lux, Y.Mourrousi, V. Giscard d'Estaing,F.Mitterrand ...
    ( sourire ) et puis OUI, pour en revenir à ton sujet ( car là je m'égare... ) On peut se passer se passer de beaucoup choses, mais PAS de la tendresse ;-)))
    Bisous Françoise

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    1. Je suis ravie que cette chanson te rappelle de jolis souvenirs, tite Marie :-)
      Et c'est vrai que nous ne pouvons pas nous passer de tendresse. La tendresse, c'est essentiel. Bisous, Marie, bonne nuit, à demain. :-)

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  2. ... se passer... se passer ... V'là que je bégaye aussi quand j'écris :-((

    Bisous Françoise et bonne soirée ;-)))

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    1. rire... Ah ben alors, Marie, que t'arrive-t-il ?... :-)
      Bisous, bonne soirée à toi aussi.

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Laissez moi des petits mots,
j'aime tant les lire... :-)

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FEMMES ET HOMMES

Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents,
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?

Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots

Julos Beaucarne