Vouloir oublier quelqu'un, c'est y penser tout le temps.
(Katherine Pancol)
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FEMMES ET HOMMES
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents,
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
C'est si vrai...a partir de l'instant ou l'on VEUT automatiquement on y pense, il y a juste le temps qui fait que ...
RépondreSupprimerMerci pour tous ces jolis mots. Bonne soirée
Bonsoir Marylou :-)
SupprimerOui, c'est vrai, il suffit qu'on veuille oublier quelqu'un, quelque chose, pour qu'automatiquement, on n'ait que cette personne ou cette chose en tête ! Alors que faire ? Oui, attendre, car avec le temps, tout passe et tout s'oublie, ou presque...
Merci à toi de ta visite et de ton commentaire. Bonne soirée également.
Quand on envie de revoir et de parler à quelqu’un qu’on aime et que l’on ne l’a pas vu depuis longtemps, on a très envie de le voir, mais on a aussi très peur ! ! ! !
RépondreSupprimerPeur d'être déçu(e), peur de décevoir, peur de ne plus reconnaître en l'autre celui ou celle qu'on a aimé(e)...
SupprimerTon commentaire, Jacques, aurait été mieux à sa place sous "Ils se sont retrouvés" sur Des mots pour le dire... :-)
Belle journée à toi. Gros bisous.
On oublie jamais ...chercher à oublier c'est sans doute vouloir ne plus avoir mal
RépondreSupprimerau fond "l'oubli" ce n'est pas oublier c'est sans doute se rappeler d'une personne sans souffrance ...et seul le temps qui soigne les blessures
Gros bisous
Je pense qu'il faut laisser faire... Ne pas se dire : "il faut que j'oublie à tout prix", car il est sûr alors que nous n'allons penser qu'à ça. Il faut accepter, c'est la meilleure façon, je pense, d'arriver à oublier. C'est mon avis :-)
SupprimerBon après-midi à toi, Lyse. Gros bisous.
Comme c'est vrai tout ça! et comme ça résonne au fond de moi. je vais tâcher de faire miens ces mots de sagesse.
RépondreSupprimerOui, Célestine. Merci de ta visite, et belle fin de soirée à toi.
SupprimerJ'avais écrit à Katherine Pancol suite à la lecture d"Un homme à distance" et elle m'avait répondu, pas simplement une dédicace mais un conseil vis à vis de ma lettre. Je n'oublierais jamais.. :)
RépondreSupprimerBisous
Je viens d'aller lire le résumé d' "Un homme à distance", et j'ai vu qu'il existait en livre de poche, je l'ai mis dans mon panier sur Amazon, et peut-être bien qu'un de ces jours... (sourire)
SupprimerOui, je comprends ton plaisir d'avoir eu une réponse de Katherine Pancol :-)
Allez, je file lire au lit. Je lis un livre passionnant dont je parlerai très bientôt sur mon autre blog. Bonne nuit, Jane. Bisous.