Les nuages, c’est comme les rêves. Tantôt gais, tantôt tristes. On croit les tenir, ils se décomposent sous la main. Le souvenir est souvent ce qu’il en reste de meilleur.
Harry Bernard
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
FEMMES ET HOMMES
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents,
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
*** Coucou FRançoise !!! ***
RépondreSupprimerMerci pour cette très belle citation !!!! qui est à méditer ...
*** GROS BISOUS et bon mardi à toi ! ***
Elle est magnifique cette citation .. très bien pensée..
RépondreSupprimerJ'aime comme toi les ciels nuageux .. de beaux contrastes dans ta photo.
Bisous pour toi Françoise
Citation un peu trop triste (voire désabusée).
RépondreSupprimerLes nuages ne sont ni gais, ni tristes.
Ils sont ce que l'on y projette.
Voltaire disait "J'ai décidé d'être heureux car c'est bon pour la santé"
Bisous
Bonjour, Frabçoise.
RépondreSupprimerMais c'est le contraire...
Ce sont les rêves qui sont comme des nuages...
Nuance.
Merci beaucoup.
Je t'embrasse.
hello ..
RépondreSupprimerJolie retourche photo dis donc !!!! Que de talent caché !!!
Le snuages passent , repassent s'évaporent mais jamais on ne les attrape ... comme les rêves . ils sont inssaisissables .....
je t'embrasse fort
Que de souvenirs a revenir sur ton blog.. bises d'une Etoile de retour après pfiouuuuu je ne compte plus ;)
RépondreSupprimerJe vois bien d'autres choses derrière les nuages mais là c'est une autre histoire...
RépondreSupprimerDieu du ciel et des nuages, c,est toi qui as pris cette photo? Mais, elle est tout simplement magnifique, Françoise! Quel oeil et quel talent! C'est toujours un vrai régal chez toi...
RépondreSupprimerEn passant, j'appuie Herbert quand il écrit que se sont plutôt les rêves qui sont comme les nuages! Herbert... Un poète jusqu'au plus profond de son âme! ;)
Jolie photo Françoise, comme des rêves de coton qui se découpent et se modèlent, des rêves à portée, des rêves comme un coeur qui bat ;)
RépondreSupprimerLes nuages sont passés... il a fait un temps magnifique, aujourd'hui ! ;-)
RépondreSupprimerBonne fin de soirée à vous, et douce nuit. Gros bisous.
Magnifique photo et retouche aussi, j'admire ces temps-ci de plus en plus les nuages.
RépondreSupprimerLe mémoire qui reste des "rencontres" puisque je viens de lire ce qui est au dessus, aussi, et doux ou triste, mais au moins, nous avons vécu, même quand il ne reste rien ce concret.
J'approuve totalement tes dernières lignes, Julie.
RépondreSupprimerMerci pour tes mots.
Douce nuit à toi.
la photo fait rêver au rythme des nuages...
RépondreSupprimeroui...
RépondreSupprimerQuand nous sert-on des nuages au menu? Comme les mousses à papa qu'on avalait tout petit, les bajoues gonflées.
RépondreSupprimerAh! donnez-m'en cent mille, j'en suis friand!
Chaboum se "livre":
www.editionscarlbeaupre.com
Oui, Chaboum se "livre".
RépondreSupprimerJe vais en parler, Karl... sourire.