Il y a un spectacle plus grand que la mer, c'est le ciel ; il y a un spectacle plus grand que le ciel, c'est l'intérieur de l'âme.
Victor Hugo
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FEMMES ET HOMMES
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents,
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
Bonjour, Françoise.
RépondreSupprimerAvec Victor Hugo, il faut s'attendre à tout...
J'essaierai, un jour, de pénétrer dans mon âme.
Mais tant pis si je m'y noie...
Bonne journée, Françoise.
Je t'embrasse fort.
Coucou Françoise !
RépondreSupprimerça doit être pour ça que j'aime tellement photographier le ciel... une photo de mon âme... un peu plus difficile !
bonne soirée,en passant Françoise,insondable,pour l'ame de fond,on la porte et elle nous conduit sans broncher,a elle de suivre son chemin suivant notre conduite,mais grand danger quand on la perd,alors a trop chercher au fond je prefere quand elle me berce sur ces vagues...
RépondreSupprimerbises esquisses,je ne trouvais plus l'entrée du blog ,pourtant dieu sait si'il est clair,content d'avoir recuperé la porte...
Bonsoir Françoise,
RépondreSupprimerIl est bon de se souvenir, nécessaire parfois d'oublier. ;-)
Merci et très bonne soirée Do
@Marouscka, il n'est pas nécessaire d'oublier, je ne pense pas.
RépondreSupprimerSi tu oublies, si tu enfouis, le souvenir reviendra un beau jour et il fera encore plus mal.
Si tu te souviens, si tu n'effaces pas, tu te permets alors d'en sourire plus tard.
C'est mon avis... ;-)
Merci à toi. Bonne soirée et douce nuit.
@Esquisse, le principal est que tu aies retrouvé la porte, et je suis, moi aussi, ravie de ton retour et de pouvoir emprunter la tienne. Tu as toujours une si jolie façon de dire les choses.
Merci à toi, et douce nuit.
Bises à toi.
@Une photo de ton âme, Jo-Alsace ? Mais ce que tu photographies est un peu le reflet de ton âme, non ?
Bonne nuit à toi, et de gros bisous.
@Herbert : J'essaierai, un jour, de pénétrer dans mon âme.
Mais tant pis si je m'y noie.... J'aime bien cette façon poétique que tu as de le dire. Mais ne vas pas jusqu'à te noyer, tout de même...
Bonne soirée et douce nuit à toi, Herbert.
Je t'embrasse.