Bonsoir Marité, Oui, j'ai écouté une partie de l'émission, mais les présentateurs m'agacaient un peu. Alors, j'ai fini la soirée en écoutant un CD de Leonard Cohen, tranquillement. Oui, sa voix est de plus en plus belle, tu as raison. Bonne fin de soirée à toi. Bisous.
Merci d'avoir cité ici ma version française de cette chanson de Léonard Cohen. Cela m'a permis, de fil électrique en aiguille informatique, de découvrir vos blogs, vers lesquels je reviendrai avec plaisir et intérêt.
Bonsoir Polyphrène, merci, c'est gentil à vous. Je viens de laisser un petit mot chez vous, c'est vrai qu'hier soir, je suis passée comme une voleuse... C'est précieux un blog où trouver les traductions de chansons étrangères, très précieux. Merci à vous. Je repasserai sûrement.
Deux blogues pour un moment de pur bonheur, merci. Et merci une fois de plus à toi Françoise pour cette incitation discrète à venir ici puis à cliquer chez Polyphtène. De telles paroles et un mercredi en plus en revenant du Cros!
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents, Ne vous laissez pas attacher, ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles... On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous, alors le fleuve Amour coule tranquille, les jours sont heureux sous les marronniers mauves, Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve, alors soufflent les vents contraires, le bateau tangue, la voile se déchire, on met les canots à la mer, les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur. La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui; La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire ne peut plus supporter le son de votre voix. Plus rien n'est négociable On a jeté votre valise par la fenêtre, Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir, Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage? Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre. Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent, Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie, alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs, Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie et tant de temps à attendre des autres des signes, des baisers, de la reconnaissance Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie, Tout nous serait cadeau Nous ne serions jamais déçus On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin Chacun est dans sa vie et dans sa peau... A chacun sa texture son message et ses mots
Je ne sais si tu l'as entendu hier sur France INter. Il était leur invité. Cette voix qui au fil du temps est de plus en plus belle.
RépondreSupprimerBisous Françoise.
Bonsoir Marité,
SupprimerOui, j'ai écouté une partie de l'émission, mais les présentateurs m'agacaient un peu. Alors, j'ai fini la soirée en écoutant un CD de Leonard Cohen, tranquillement. Oui, sa voix est de plus en plus belle, tu as raison.
Bonne fin de soirée à toi. Bisous.
Merci d'avoir cité ici ma version française de cette chanson de Léonard Cohen. Cela m'a permis, de fil électrique en aiguille informatique, de découvrir vos blogs, vers lesquels je reviendrai avec plaisir et intérêt.
RépondreSupprimerBonsoir Polyphrène, merci, c'est gentil à vous. Je viens de laisser un petit mot chez vous, c'est vrai qu'hier soir, je suis passée comme une voleuse... C'est précieux un blog où trouver les traductions de chansons étrangères, très précieux. Merci à vous. Je repasserai sûrement.
SupprimerDeux blogues pour un moment de pur bonheur, merci.
RépondreSupprimerEt merci une fois de plus à toi Françoise pour cette incitation discrète à venir ici puis à cliquer chez Polyphtène. De telles paroles et un mercredi en plus en revenant du Cros!
C'est moi qui te remercie Louis-Paul :-)
SupprimerBelle fin de soirée, et douce nuit à toi.
Je t'embrasse.
c'est un bonheur que cette chanson, une mélodie qui ne te quite pas... merci... bon samedi Françoise..
RépondreSupprimerce soir la suite....:
http://domidoume.wordpress.com/
Doume, un nouveau blog ?... Chic ! J'irai te lire dès que possible ! :-)
SupprimerBonne fin de soirée à toi, et bon dimanche !
A très vite, là-bas ! :-)