Je vous aime, vous... parce que vous êtes bon, parce que vous êtes sage, parce que vous agissez bien..., parce que... parce que... parce que...
Je vous aime, vous... parce que vous êtes malheureux. Si vous ne l'étiez pas, je ne songerais pas à vous, et quand vous ne le serez plus, je vous oublierai.
Je vous aime, vous... parce que vous pensez où je pense, voulez où je veux, aimez où j'aime et qu'il y a entre nous deux cette merveilleuse harmonie.
Je vous aime, vous... parce que ça me fait plaisir.
Et vous, je vous ai aimé, vous seul, parce que je ne pouvais pas m'en empêcher malgré le mal que vous aimer m'a fait. Je vous ai aimé sans voir, sans savoir, sans vouloir, sans pouvoir...
Marie Noël
trop beau , trop touchant , il est en entier le poéme là !
RépondreSupprimerMoi j'adore , merci Françoise de l'avoir mis. Bisous.
MERCI ce poème est assez different de tous ceux que je connais de Marie-Noel plus tournés vers le viellissement ou Dieu....
RépondreSupprimerOui, c'est vrai que je l'ai trouvé touchant ce poème. Et comme dit Mo, tellement différent des autres poèmes que Marie Noël a écrit.
RépondreSupprimerUn gros bisou à toutes les deux et merci encore pour vos visites.
Superbe texte. Merci à toi Françounette et à Marie Noël.
RépondreSupprimerbisous.
Oui, superbe texte. Je ne le connaissais pas non plus avant de le trouver, par hasard. Je pensais, comme Mo, que Marie Noël avait écrit seulement des textes sur le vieillissement ou sur Dieu.
RépondreSupprimerMerci, ma puce, de ta visite.
Je t'embrasse fort.