dimanche 31 août 2008

Timothé

Comme promis, je viens vous raconter mes vacances.
Je vous parle tout d'abord de ma semaine à Besançon, semaine importante, car retrouvailles avec Timothé que nous n'avions pas revu depuis sa naissance.
Il a beaucoup changé. C'est fou ce qu'un bébé de deux mois peut déjà être éveillé. Il regarde droit dans les yeux la personne qui le tient, esquisse des petits sourires, redresse sa petite tête. Bref, il est adorable. J'ai pu le porter, le changer, lui donner son biberon. Je me suis régalée dans mon rôle de grand-mère.
Merci Elodie et Rémi de votre accueil, nous avons passé une semaine vraiment merveilleuse.

Je ne peux pas mettre le visage de Timothé sur mon blog, vous le comprendrez je pense. Alors voici quelques photos de sa petite menotte et de son petit pied. C'est pour vous :

La petite menotte de Timothé dans ma main.



Le petit pied de Timothé dans la main de Rémi, son papa.

9 commentaires:

  1. Il n'y a rien de plus doux et merveilleux que ces premiers échanges avec nos petits-enfants,la découverte réciproque.
    Des instants inoubliables.
    Heureuse pour toi que tu ais pu en profiter.
    Bisous Françoise.

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  2. C'est une mamie heureuse que je vois là :) Ravie de ton retour chère Françoise!
    De gros bisous pour toi et pour ce petit Timothé ;)

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  3. Trés émouvant et si merveilleuses ces photos. Il est adorable ce bébé, et sa mamie rayonne...
    Du fond du coeur, Merci pour cette douceur !
    Je t'embrasse fort.

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  4. Une petite menotte qui s'abandonne dans notre main pour la 1er fois : c'est un moment fabuleux

    Que de douceur et de bonheur sur ces photos

    Petite mamie t'es toute épanouie

    Tout plein de bisous pour toi et Le petit Timothé

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  5. Elle est fière notre mamie de nous présenter son petit Thimothé, et comme ça se comprend, ce sont des moments inoubliables.
    Gros bisous Françoise et encore une fois, je suis très contente de te retrouver.

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  6. Bonjour, Francoise.
    Toutes ces photos sont adorables...
    Et quelregard attendri tu poses sur Timothé...
    Bon courage pour cette renrée...
    Bisous

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  7. Bonjour Françoise et bon retour!
    Je suis ravie que tes vacances t'ai fait du bien.. es miennes sont déjà loin, mais faut faire avec.... il y a les WE pour faire la fête et se reposer et essayer tout au long de la semaine de trouver de petits moments de bonheurs pour nous faire patienter jusqu'aux prochaines vacances!
    Je t'embrasse bien fort et à bientôt

    Barbara

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  8. Bonsoir Françoise,
    J'imagine le regard de ce tout petit, tout en confiance dans les bras de sa mamie, ces sourires qu'il t'offre, ce bonheur qu'il t'apporte. Merci la vie.
    Merci pour tes photos tendresse.
    Je t'embrasse

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  9. Merci infiniment pour tous vos mots si gentils et chaleureux.
    Belle et douce journée à vous.
    Je vous embrasse très fort.

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Laissez moi des petits mots,
j'aime tant les lire... :-)

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FEMMES ET HOMMES

Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents,
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?

Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots

Julos Beaucarne