vendredi 17 octobre 2008

Le temps qui passe



Dis, au moins le sais-tu,
Que tout le temps qui passe,
Ne se rattrape guère,
Que tout le temps perdu,
Ne se rattrape plus...


Barbara
Dis, quand reviendras-tu

7 commentaires:

  1. Coucou Françoise..
    Quel beau texte et quelle grande Dame ..
    Merci je vais essayer de le rattraper .. le temps perdu.

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  2. Bonjour, Francoise.
    Merci pour cette si belle chanson de Barbara, que j'aime tant...
    Et je n'ai pas oublié l'autre, avec son sourire et sa spontanéité.
    Te souviens-tu?
    Le temps perdu? Mais il y a du temps qui se retrouve ou qui setrouve à nouveau...
    Bonne journée,Francoise et merci .
    Je t'embrasse fort.

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  3. Je ne pouvais pas faire autrement que de te laisser un petit bonjour sur cette chanson.. je ne sais pas si je t'ai dis, mais si je porte ce si joli prénom (oui, j'aime mon prénom intemporel), c'est grace à cette Grande Dame Brune, qui a sorti "l'Aigle noir", l'année de ma naissance, en 70.
    Malgré mes goûts musicaux si particuliers et très différents, j'aime encore entendre Barbara avec quelques préférences pour cette chanson, l'aigle noir mais aussi Nantes qui est magnifique et quelques autres.
    Je t'embrasse bien fort et te souhaite un très bon WE qui pour nous va se passer en Camargue car nous partons à 17h pour Aigues Mortes voir des amis et y faire la fête.

    Barbara

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  4. Bonjour Françoise !
    Grande Dame oui bien sûr !
    Mais qu'appelle-t-on "le temps perdu" ???

    Grâve question je sais...

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  5. Bonjour ! Une jolie chanson, mélancolique cependant, à ne pas écouter les jours de cafard, quand il fait sombre...

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  6. Françoise, merci pour tes mots et cette chanson, qui sont des leçons de vie, ici et maintenant, goûter à chaque petit bonheur, vivre l'instant présent, ne pas attendre surtout... Je t'embrasse fort

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  7. @Emiliane : essaie, il n'est jamais trop tard pour essayer...

    @Herbert : oui, je sais que tu aimes Barbara. Le temps peut se retrouver ? pourquoi pas, après tout.

    @Barbara : j'espère que ton week-end en Camargue se sera bien passé.

    @Webradio : "qu'appelle-t-on le temps perdu?"... c'est une énigme que tu me poses là ?... ;-)

    @Chipie : oui, je suis d'accord avec toi... à éviter les jours de cafard...

    @Kat Imini : vivre l'instant présent, ne pas attendre... mais est-ce toujours possible ?... il y a tellement de facteurs qui peuvent entrer en jeu...

    Bonne soirée à vous, et bonne fin de week-end. Je vous embrasse.

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Laissez moi des petits mots,
j'aime tant les lire... :-)

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FEMMES ET HOMMES

Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents,
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?

Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots

Julos Beaucarne