Il existe un curieux paradoxe : quand je m’accepte tel que je suis, alors je peux changer.
(Carl Rogers)
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FEMMES ET HOMMES
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents,
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
Sans doute, n'es-tu pas la seule. En t'acceptant avec tes quelques rides, tu vas te trouver encore du charme, et il te viendra l'envie de te faire encore plus belle.
RépondreSupprimerEt le séducteur arrivera...
dis moi Françoise...le séducteur, tu crois pas que c'est Richard ???? :-))))
RépondreSupprimertu sais, le jour ou j'ai eu mon diagnostic que j'étais Borderline ... et que c'était pas ma faute... que c'était la maladie... et pas MOI, je me suis enfin aimée...
oui, on change lorsqu'on sait enfin qui l'on est...
et Richard, tu le sais que je peux avoir aussi bcp d'humour... mais avant tout .. bcp d'amour !
comme toi ma belle Françoise .
Coucou Françoise
RépondreSupprimerEffectivement, il faut prendre conscience des choses pour avoir du pouvoir sur elles...........
Douce soirée
Claude
- Tu crois, Richard ?...
RépondreSupprimerMais je peux aussi avoir envie de me faire encore plus belle rien que pour moi... :-)
Belle soirée à toi, et merci de ta visite.
- Richard, le séducteur ?... Non, il est trop sérieux... (sourire)
C'est vrai ce que tu dis, Nanou, lorsqu'on peut mettre un nom sur nos angoisses et autres, lorsqu'on arrive à mieux se connaître, on arrive peut-être enfin à s'accepter tel(le) que l'on est et à s'aimer.
Oui, l'amour, ma belle, c'est si important ! :-)
Je t'embrasse.
- Oui, mon amie Claude, tout comme nous le disions avec Nanou.
Douce soirée à toi aussi, et douce nuit, vu l'heure.
Je t'embrasse.
Je suis bien d'accord avec cette phrase…
RépondreSupprimerD'autant que c'est Rogers ce qui m'a mis en chemin de moi-même…
" O Dieu, donnez-moi la sérénité d'accepter ce que je ne puis changer, le courage de changer ce que je puis et la sagesse d'en connaître la différence " Marc Aurèle.
RépondreSupprimerTrès intéressante citation que tu publies ce matin Françoise.
Bonne journée.
Lalie
Bonjour, Françoise.
RépondreSupprimerMais c'est très juste.
Moi qui aime le changement...
Merci beaucoup.
Bonne semaine pour toi.
Je t'embrasse.
- Alain, donc Carl Rogers doit être quelqu'un de bien.
RépondreSupprimerMerci à toi, et belle fin de soirée.
- Lalie, j'aime cette citation que tu as déposée. Je l'avais déjà entendue, mais ne l'avais pas retrouvée. Merci donc de l'avoir déposée chez moi ! :-)
Belle soirée à toi, et merci de ta visite.
- Bonsoir Herbert,
Oui, c'est très juste, c'est même évident, quand on y pense.
C'est moi qui te remercie, Herbert.
Bonne semaine à toi aussi.
Je t'embrasse.
Intéressante citation, intéressante réflexion... J'aime. Merci.
RépondreSupprimerMerci à toi, Pastelle :-)
RépondreSupprimerBonjour Françoise
RépondreSupprimerC'est une citation intéressante.
Je me pose la question de savoir si vous m’acceptez comme je suis ou si vous allez m'accepter après le changement.......
Bonne journée
***bisous***
Ce ne sont pas les autres qui doivent t'accepter, Yves, mais c'est à toi de t'accepter tel que tu es, et d'accepter le changement qui peut se produire en toi. Lorsqu'on arrive à cela, alors, nous ne nous posons plus la question de savoir si les autres nous acceptent ou pas, ce que l'on pense nous, nous suffit. Enfin, c'est juste mon avis, hein ! et un avis pas très clair, je trouve... :-)
RépondreSupprimerBonne soirée à toi, Yves.
Gros bisous.
Si juste !!
RépondreSupprimerJe me permets d'intervenir sur votre blog que je découvre par je ne sais plus quel biais !
Pour moi l'essentiel étant d'être là !
Cette citation me fait penser à un texte de Rudyard Kiplingque, texte qui a fait l'objet d'un article sur mon blog : "tu seras un homme mon fils"
La découverte, la vraie, passe par l'acceptation de soi, la connaissance de soi !!
Je crois que je reviendrais souvent si vous me le permettez, d'ailleurs sans même votre permission je poursuis mon voyage !
Je vous embrasse
Patricia
http://lecancerrendezvousaveclavie.blogspot.com/
Bonsoir Patricia,
RépondreSupprimerMerci pour les commentaires que vous avez laissés sur mes blogs, et pour votre enthousiasme !
Je suis ravie de votre visite.
Bonne soirée à vous !