Ne pleure pas, mon amour, ne pleure pas, déjà
La nuit descend, mon amour, la nuit descend, tout bas
Mais cette fois, tu le sais, je dormirai sans toi
Ce sera long, mon amour, j'aurai peut-être froid
Tu avais les yeux dans le ciel
Aux couleurs d'un chemin d'étoiles
Et j'ai sombré jusqu'à plus rien
Dans le source au creux de tes mains
A trop aimer le vent où se brisent les ailes
J'ai traversé les mots pour aller jusqu'à toi
Voulant vivre comme toi, comme on vit de soleil
Mais c'est fini tu vois et j'ai tant sommeil
Ne pleure pas, mon amour, ne pleure pas déjà
La nuit descend, mon amour, la nuit descend, tout bas
Tu trouveras, je le sais, d'autres chemins que moi
Tu t'es trompé, mon amour, je peux mourir sans toi !
Tu disais : la vie nous va bien
Nous aurons des années lumières
Beaucoup d'amour, un peu de pain
Des enfants, plus beaux qu'un "je t'aime"
Je préférais la nuit, j'aimais trop le mystère
Mes pas s'arrêtent ici, continue, solitaire
Je vais dormir là-bas, comme on dort en hiver
Mais c'est fini tu vois, et j'ai tant sommeil !
Mannick
mercredi 25 juin 2008
Ne pleure pas
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FEMMES ET HOMMES
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents,
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
Que de mauvais souvenirs! Et cette neige représente exactement ce que je ressentais dans ma tête, mon coeur et mes tripes.
RépondreSupprimerPourquoi tant de tristesse ?
RépondreSupprimerLa mélodie est douce et belle.
Merci Francoise et bonne journée.
Bisous
ouch...
RépondreSupprimerJuste un coucou en retour Françoise, j'espère que tu vas bien, contrairement à ce que laisse "entendre" ce texte?
Oui pourquoi tant de tristesse?
L'amour rend les gens heureux parfois, mais pourquoi les brise-t-il contre sol avec autant de facilité et tant d'indifférence, alors qu'en premier lieu il leur offrait le ciel? L'amour serait-il à ce point malfaisant? Enfin, heureusement, d'autres pensent certainement le contraire.. Et c'est tant mieux.
Gros bisous Françoise... Et, bonne nouvelle, je (re)vole ;) :D
J'aime certains textes, certains mots, et j'ai envie de les partager avec vous. Mais je n'ai pas forcément le même vague à l'âme ou la même tristesse qui se dégagent de ces textes, rassurez vous.
RépondreSupprimerJe vais bien, ne vous inquiétez pas. En plus, je viens de passer un bien agréable moment au téléphone avec une charmante demoiselle, et ma journée en est ensoleillée...
Et cette fin de semaine, je file à Besançon faire la connaissance de Timothé !...
Bisous à tous. Et bonne journée.
Bonsoir Françoise
RépondreSupprimerJoli texte que je n'aime pas.
J'aime l'écriture mais pas les mots.
Bisous.
Je vois que ce texte, cette chanson ne vous a pas vraiment plu... mais vous l'avez dit, et c'est ce qui compte.
RépondreSupprimerNous traversons tous des périodes d'intense joie ou d'intense tristesse, et nous ne la traversons pas toujours au même moment, donc il est normal que ce que nous ressentons tel jour ne correspondent pas forcément à ce que les autres ressentent ce même jour.
Merci de vos commentaires et de vos visites.
Passez une très bonne soirée.
Je vous embrasse.
Francoise, c'est vrai que ce texte et sa musique, sont assez désespérant...mais trés beau!
RépondreSupprimerCe que tu dis est vrai, le ''timing'' ne peut répondre au moment de chacun...Nous sommes vulnérables et nos zones d'ombres prennent parfois de l'ampleur quand elles sont aiguisées par un média poétique ou musical. C'est la vie et elle fait des gammes! Parfois, on n'aime pas tellement sa musique...Heureusement que se sont des instants qui passent!
A Thimoté, un bisou trés léger sur son orteil adorable !
Profite au maximum de ces merveilleux moments en famille.
Bon week-end!
Bonsoir Jaca,
RépondreSupprimerOui, tu as tout à fait raison et c'est bien ce que je voulais dire. Nous ne sommes pas réceptifs tous en même temps à la même chanson, aux mêmes mots, à la même mélodie... Tout dépend de notre humeur du moment, c'est tout.
Compte sur moi pour lui faire un bisou sur son petit orteil...
Merci de ta visite, et passe un très bon week-end toi aussi. Gros bisous.
La musique et la voix de Mannick sont très belles et son texte, et bien j'admire toujours que l'on puisse mettre des mots aussi beaux sur des sentiments même s'ils sont désespérés ou désespérants. Nous vivons tous à un moment ou un autre de notre vie de tels moments.
RépondreSupprimerMais pour l'heure, Françoise réjouis-toi auprès de Timothé et passez tous un beau week-end ensoleillé et joyeux.
Merci Calliprune, c'est ce que j'ai fait ;-)
RépondreSupprimerGros bisous.
Que c'est intense mais beau! Je vais avoir besoin de marcher un peu pour reprendre pied...
RépondreSupprimerMerci pour ce texte...
Merci Michel.
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