mercredi 19 janvier 2011

Je l'aimais...

Il y a quelques mois, j'avais pris à la bibliothèque le livre d'Anna Galvada: "Je l'aimais". Un livre fort, émouvant, dérangeant...
Samedi dernier, j'ai acheté le DVD du film tiré de ce livre, film réalisé par Zabou Breitman, et dimanche soir, je l'ai regardé. Je n'ai pas été déçue, le film est fidèle au livre. Aussi poignant, aussi émouvant, aussi dérangeant. Daniel Auteuil et Marie-Josée Croze y sont magistraux.



Le résumé du livre --> ici
La critique du film --> ici

12 commentaires:

  1. A voir la bande annonce, on se rend de suite compte combien l'amour est fort dans ce film, mais malheureusement pour beaucoup de raisons bien souvent les hommes mariés ne quittent pas leur femme légitime...

    Merci pour ce beau partage Françoise.

    Je t'embrasse très fort, passe une douce journée.

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  2. Bonjour, Françoise.
    Merci beaucoup pour tout cet ensemble-là.
    Je connais le livre.

    Bonne journée.
    Je t'embrasse.

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  3. J'ai lu le livre, tu me donnes envie de voir le film, je note dans mes tablettes !!!

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  4. Françoise, je partage tes deux avis, j'avoue aussi que le livre m'avait beaucoup touchée et qu'il est rare qu'un film issu d'un écrit que j'ai lu ne me déçoive pas, ce fut le cas, je savais que tu allais apprécier, je t'embrasse très fort.

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  5. - Celui-ci, en tous cas, ne l'a pas quittée...
    Merci à toi, chère Laudith.
    Belle fin de soirée.
    Je t'embrasse très fort, moi aussi.

    - Bonsoir Herbert,
    C'est moi qui te remercie.
    Bonne fin de soirée à toi.
    Je t'embrasse.

    - Oui, Rêva, note dans tes tablettes! :-)
    Je t'embrasse.

    - Kat, oui, j'ai tout apprécié: le livre et le film. Une si belle histoire...
    Bonne nuit à toi, ma douce.
    Je t'embrasse fort.

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  6. J'aime beaucoup, moi aussi.

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  7. Bonjour Françoise , Un film que j'ai eu l'occasion de voir et que j'ai trouvé fort poignant et bien interpreté . Comme le dit si bien Laudith , bien souvent les hommes mariés ne quittent pas leur femme légitime ...c'est ainsi .


    Je serais ravi de te revoir sur mon blog , il y a du nouveau !

    bon week end !

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  8. - Oui, c'est un si beau film, Richard.

    - Je reviendrai sur ton blog voir les nouveautés, Jerry. C'est vrai que je néglige un peu les blogs amis en ce moment: manque de temps, trop de boulot :-(
    Bon week-end à toi aussi, et merci !

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  9. est ce que tu voudras bien me preter ton DVD?

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  10. Mais bien sûr, mo ! :-))
    J'aurais pu te le faire passer par B. ce matin. Tant pis, une autre fois.
    Gros bisous.

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  11. Je ne connaissais pas ce livre d'Anna Cavalda. Je suis allé à la bibliothèque et je l'ai lu. Il m'a beaucoup touché, il m'a fait me posé des questions...Maintenant j'aimerai voir le film. Bises

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  12. Oui, vas voir le film, Michelle, il est très beau.

    Bises à toi aussi.

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Laissez moi des petits mots,
j'aime tant les lire... :-)

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FEMMES ET HOMMES

Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents,
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?

Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots

Julos Beaucarne