Dans le domaine des sentiments, le temps n'existe pas.
(Arnaldur Indridason)
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FEMMES ET HOMMES
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents,
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
Apollinaire serait déçu :-)
RépondreSupprimerPassent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Bonne soirée, Françoise.
Je t'embrasse.
Apollinaire était bien pessimiste :-)
RépondreSupprimerEn fait, Arnaldur Indridason et Apollinaire ont tous deux raison, car :
Il y a des histoires qui passent,
il y a des histoires qui durent,
tout dépend des acteurs,
c'est tout. :-)
Bonne soirée à toi aussi, Rom, et merci de ta visite du soir.
Je t'embrasse moi aussi.
Françoise
RépondreSupprimerJ'étais déjà perplexe à la lecture de ton billet !!!! mais en lisant vos commentaires... Je file ....
sur IBAY voir s'il a un cerveau à vendre !!!!
Gros bisous Françoise.
PS. En pareil circonstance, sur d'autres blogs... je ne laisse pas de commentaire,( la peur du ridicule, même si l'on dit qu'il ne tue pas ) mais avec toi Françoise, je m'autorise, je te sais indulgente ;-)
Bonne soirée
(rires) Tu me fais trop rire, tite Marie.
RépondreSupprimerTu es vraiment unique !... Ne changes surtout pas ! :-)
Gros bisous à toi aussi, et douce nuit.
PS : et tu as bien raison d'agir ainsi sur mon blog ! J'adore !... :-)
Bonjour, Françoise.
RépondreSupprimerNaturellement...
L'amour, par exemple, est éternel, quand on aime...
Merci beaucoup.
Je t'embrasse.
Oui, Herbert, éternel quand on aime...
RépondreSupprimerDouce nuit à toi, et merci.
Je t'embrasse.
bonjour Françoise
RépondreSupprimerLes sentiments sont comme les rêves ,ils sont hors du temps!!!!
bonne journée
♥♥bisous♥♥
Bien dit, Yves ! :-)
RépondreSupprimerBonne journée à toi aussi.
Bisous.
merci le prendre ainsi Françoise ;-)))
RépondreSupprimertu es adorable ;-)))
Bisous et amitié ;-)
Je te renvoie le compliment, Marie :-)
RépondreSupprimerGros bisous, et douce nuit à toi.