On se croise, on se suit, on se dépasse, on ne se rencontre pas (sauf sous la forme brutale de la collision) et l'aimable coup de chapeau fait place au furieux coup de klaxon. Ce chauffeur qui, sur une route sinueuse, roule trop lentement devant nous, ce n'est plus notre prochain mais un obstacle ambulant, une cause d'embouteillage, un mangeur de moyenne, etc. - tout sauf un être humain auquel on concède le droit d'admirer le paysage... (Gustave Thibon)
Pourquoi tant d'agressivité lorsque les gens sont au volant de leur voiture ? J'aimerais comprendre parfois...
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FEMMES ET HOMMES
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents,
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
Bonjour, Françoise.
RépondreSupprimerJe répondrai par une boutade : parce que une voiture, c'est fait pour rouler. Ou alors, prendre un tracteur...
Bonne journée, Françoise.
Je t'embrasse fort.
Bonjour Herbert,
RépondreSupprimerFerais-tu partie de ceux qui n'ont pas de patience lorsqu'ils conduisent ?... (rire)
Bonne journée à toi aussi.
Je t'embrasse fort.
Bonjour Françoise
RépondreSupprimerQuand le conducteur du véhicule qui nous précède est perché dans une cabine, à deux mètres du sol, au volant d'un engin dont l'avertisseur sonore est aussi puissant que celui d'un paquebot, on se montre beaucoup plus tolérant.
On fait moins le malin! :-)
Je t'embrasse.
Françoise
RépondreSupprimerMoi j'ai peur quand on roule lentement devant moi, car les furieux se mettent à doubler.... a tout va, 2 voitures en même temps, et souvent on risque l'accident...
Pourquoi sont-sont excités au volant... je me le demande...
Bisous Françoise
- Bonsoir Rom
RépondreSupprimerOui, en effet, dans ce cas-là, on fait moins le malin et on ronge son frein... :-)
Je t'embrasse aussi.
- C'est vrai aussi ce que tu dis, Marie. Et, sincèrement, moi aussi, je peste parfois contre les "lenlos" du volant... :-)
Bisous à toi aussi.
Coucou Françoise,
RépondreSupprimerMerci de nous rappeler que nous sommes tous des êtres humains ..
Tu sais, je dois être "la première" en terme de comportement "indélicat" sur la route ...
Ce petit rappel, aujourd'hui va me permettre de réfléchir avant de "râler" ...
Je t'embrasse fort ...
Bonjour Françoise,
RépondreSupprimerTu sais, sur nos routes alsaciennes, il y a énormement de trafic et de camions qui essaient de se doubler sans y arriver et donc, restent trop longtemps sur la voie de gauche, et nous, nous restons bloqués derrière ces monstres de la route. Au début, moi aussi je pestais, je râlais mais je me suis rendu compte que cela ne les touchait pas et que moi j'arrivais sur mon lieu de rendez-vous énervée, alors maintenant je m'écoute un CD que j'aime et je patiente et surtout je pars plus tôt en prévision de cela. Je finirai en rajoutant: ne rentrant pas dans le jeu de l'agressivité.Cela nous fait du mal :-)) Un gros bisou pour toi ma douce
Je double tout le monde, sans même klaxonner, pour te souhaiter un bon après-midi, sans impatience ni excès de vitesse (en ce qui concerne le boulot) :-)
RépondreSupprimerBises, Françoise.
- Coucou Patricia :-)
RépondreSupprimersourire... Je pense que nous sommes un certain nombre à avoir ce comportement indélicat, c'est peut-être pour cela que j'en ai parlé... :-)
Belle fin de journée à toi.
Je t'embrasse fort, moi aussi.
- Bonjour Chantal,
C'est tout à fait ce qu'il faut faire, prendre son mal en patience en écoutant de la belle musique, et partir un peu plus tôt, oui... Le fait de s'énerver n'arrange rien, au contraire, c'est nous qui nous nous faisons du mal, alors... tu as la bonne attitude... :-)
Gros bisous à toi aussi, ma Chantal.
- sourire, Rom.
Bonne fin d'après-midi à toi aussi.
Je t'embrasse.
Parce que c'est la guerre Françoise!
RépondreSupprimerC'est à celui qui arrivera le 1er les pieds sous la table pour regarder "Télé charentaises"...
Parce que la bêtise ne coute pas cher et qu'elle est abondante.
Parce que les gens ont des œillères, ils ne voient la beauté de la nature qu'à l'arrivée au parking, lorsque Mr Hulot dans le poste leur dit "Regardez, c'est beau!", lorsqu'on leur demande de payer l'entrée du parc machinchose...
C'est vrai que lorsque je vois ces gens si agressifs au volant, je me dis quelque part que c'est normal qu'il y ait des guerres, si peu de tolérance, si peu de respect, si peu d'indulgence...
RépondreSupprimerEn tous cas, j'aime bien ton commentaire, Philippe !
Douce nuit à toi, et merci.
un sentiment de toute-puissance anime certains conducteurs ou conductrices quant ils sont au volant... cela m'est arrivé autrefois de manquer de patience maintenant je suis d'une amabilité bienveillante mais bon je continue à aimer la vitesse...un peu trop....
RépondreSupprimerAmitiés salines.
Bonsoir Malou,
RépondreSupprimerLa vitesse est grisante, oui, mais dangereuse... alors, attention... ;-)
Amitiés à toi aussi, et merci de ta visite.