Nos enfants
Alors que nous essayons d'enseigner
la vie à nos enfants,
nos enfants nous montrent
ce qu'est la vie.
(Angela Schwindt)
Photo trouvée sur le net.
FEMMES ET HOMMES
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents,
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
Bonjour, Françoise.
RépondreSupprimerOui, mais ce sont tout de même les adultes qui les mettent sur la voie.
Bonne journée, Françoise.
Bon courage.
Je t'embrasse fort.
Oui, bien sûr, mais ils nous donnent tout de même une sacrée leçon de vie.
RépondreSupprimerBonne soirée à toi, Herbert.
Je t'embrasse fort moi aussi.
Bonjour Françoise
RépondreSupprimeril faut leur montrer le bon chemin et être vigilant sur leur comportement, car Tant de choses ont changé surtout depuis qu'il y a internet quand je pense à mes jeunes années et que je vois mes petits enfants: quel changement!!!!
Mais sont ils heureux pour autant !!!
je te souhaite une bonne journée
♥♥bisous♥♥
Bonjour Françoise.
RépondreSupprimerLa force des enfants est leur vitalité, le monde des adultes est leur faiblesse.
Bonne journée, je t'embrasse.
Je suis d'accord avec cette citation, c'est grâce à eux que l'on s'épanouie, ils nous donnent de la force.
RépondreSupprimerJe t'embrasse très fort chère Françoise et te souhaite une beau week-end aux couleurs automnales.
- Bonsoir Yves,
RépondreSupprimerSont-ils heureux pour autant ? Quelque part, je pense que oui. Lorsque je vois mes petits-enfants, ils ont la joie de vivre en eux. Mais ils sont encore petits, à suivre donc.
Bonne soirée à toi. Bisous.
- Bonsoir Rom,
Oui, tu as sans doute raison. Je pense aussi que ce qui fait la force des enfants est leur spontanéité et leur faculté de vivre dans le moment présent.
Je t'embrasse moi aussi. Bonne soirée à toi.
- Depuis que j'ai des petits-enfants, et surtout depuis ce qui est arrivé à Noé, je me rends compte que les enfants sont forts, oui, et s'adaptent aux situations nouvelles sans se poser de questions.
Je t'embrasse très fort aussi, chère Laudith. Bon week-end à toi.
C'est bien dit, j'ai remarqué à maintes reprises que dans certaines situations qui me paraissaient insurmontables et pour lesquelles je me faisais du souci pour mes enfants, finalement ils étaient bien plus flexibles que moi, qu'ils prenaient les choses comme elles venaient, simplement. Et qu'ils s'étaient adaptés bien mieux que moi. Comme quoi !
RépondreSupprimerBises
Oui, comme quoi, Pinky ! :-)
RépondreSupprimerMerci de ta visite, et bonne soirée à toi.
Gros bisous.