Marc Vella : une très belle découverte, ce soir, chez Yog‘ la vie
Prenez le temps de regarder la vidéo entièrement.
Ecoutez-le. Il parle si bien de l'amour...
Magnifique, oui ! Et à faire circuler !...
*Du coup, je rouvre mon blog pour cette vidéo... :-)
vendredi 23 juillet 2010
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FEMMES ET HOMMES
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents,
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
FRANÇOISE
RépondreSupprimerFinalement en regardant cette vidéo je comprend que Ce blog qui devait être en pause pour plusieurs semaines, reprenne vie immédiatement!!!
c'est magnifique !!
merci pour cet instant.
Je reviendrai écouter cette interview
Bisous FRANÇOISE et merci
merci beaucoup de cette decouverte
RépondreSupprimerOui, Marie, en effet, cette vidéo mérite que je rouvre mon blog, ne serait-ce que pour elle.
RépondreSupprimerBonne journée à toi.
Gros bisous.
Coucou Mo !
RépondreSupprimerA quelques minutes près, nous postions en même temps (sourire).
Merci à toi de l'intérêt que tu y a porté !
Gros bisous et bon dimanche.
FRANÇOISE
RépondreSupprimerJ'ai un PC portable et le son est très faible! J'ai donc acheté un casque pour réécouter cette vidéo ( et en entier cette fois)
Dis donc, MARC VELLA prononce des mots que j'avais déjà lu chez toi!!!
"lâcher prise "
s'accorder...dans tous les sens du terme..."
Vous vous connaissez, c'est pas possible!!!
bisous bonne journée FRANÇOISE
J'aimerais le connaître, Marie. Il aurait sûrement beaucoup à m'apprendre. Et il émane de lui une telle paix, une telle douceur.
RépondreSupprimerOui, tu vois, c'est sans doute pour cela que cette vidéo, cet homme, m'ont tout de suite plu. Nous parlons le même langage, nous employons les mêmes mots.
Bisous à toi aussi, Marie, et merci !
FRANÇOISE
RépondreSupprimeret quand c'est beau, j'y reviens...
merci pour cet article.
Bisous FRANÇOISE
Et tu as bien raison d'y revenir, Marie.
RépondreSupprimerJe pense à toi, tu travailles, à cette heure-là ;-)
Courage, c'est bientôt les vacances !
Gros bisous à toi.
J'ai bien aimé ce qu'à dit cet artiste. Si je ne devait retenir qu'un mot c'est "compassion".
RépondreSupprimerBonne soirée
Oui, c'est un joli mot : "compassion".
RépondreSupprimerBel après-midi à toi, Michelle et merci.
Je découvre et c'est magnifique. Ses mots me touchent, trouve un écho en moi. Merci...
RépondreSupprimerMerci à toi, Tatieva, d'être venue jusque-là :-)
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