dimanche 14 septembre 2008

Et voilà...

Et voilà le week-end est terminé. Tout mon petit monde est reparti. Les uns à Besançon, les autres à Lyon. La maison paraît bien vide, d'un coup...
Mais nous avons bien profité du petit Timothé. Il a encore drôlement changé en trois semaines. Il est trop mignon, trop adorable.
Je lui ai donné son biberon, je l'ai porté, j'ai assisté à son bain, et alors qu'il était au sol sur son tapis d'éveil, et qu'il redressait sa petite tête, je me suis même mise à son niveau (la mamie à plat ventre par terre, oui, oui...) et nous avons échangé des sourires et des petits mots... il m'a fait des petits... areu areu... Trop mignon, trop attendrissant... Ah la la, c'est chouette d'être grands-parents. Et le papy en a bien profité lui aussi. C'est lui qui lui donnait le premier biberon du matin.
Enfin, voilà, un peu fatiguée ce soir, mais ravie d'avoir eu tout ce petit monde à la maison.
Pour changer des petits menottes ou des petits pieds de Timothé, je vous mets la photo de ses petites chaussures...

Bonne fin de soirée à vous, et merci encore des gentils commentaires que vous avez déposés dans le week-end. Je vous embrasse très fort.

11 commentaires:

  1. Sourire, ses petites baskets, en les voyant, peut être bêtement mais spontanément, j'ai frissonné, trop mignon, je comprends que tu craques, je suis heureuse pour toi, je t'embrasse Françoise, fort

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  2. De jolies baskets pour chausser les pieds d'un petit en route pour une vie à laquelle je te/vous souhaite de pouvoir participer heureusement le plus souvent possible. Ce sont de si beaux moments.
    Bises Françoise.

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  3. Comme tu (vous) as du être heureuse ces deux jours, dans ce partage d'amour et d'affection.
    Cette sensation de vide, sans transition, je la comprends.
    Ce soir tu es fatiguée, l'émotion de la séparation est encore là, mais demain tu repenseras avec sérénité à ces doux moments.
    Merci d'être venue nous raconter si vite.
    Je te fais mes gros bisous ma Françoise

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  4. fashion victime avec ses petites converses trop mimi le petit bébé a sa mamie toute heureuse
    Gros bisous et bon début de semaine

    Barbara

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  5. bein, voilà, Françoise, ce ne fut que du bonheur... et c'est bien agréable de lire ainsi ton texte, tes émotions.. et Timothé...
    je te souhaite une belle journée ce lundi... je ne sais si c'est comme à Toulouse, mais le matin et le soir, il fait bien frais...le changement est brutal...
    Bises

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  6. Je te laisse à ton bonheur et tes agréables souvenirs ma petite Françoise.
    Bonne soirée et gros bisous

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  7. Merci pour vos mots si gentils, mesdames.
    Bonne soirée à vous, et douce nuit.
    Je vous embrasse fort.

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  8. C'est un plein de bonheur à faire à chaque occasion.

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  9. Oui, Muse, un plein de bonheur, tu l'as dit.

    Merci de ta visite.
    Bonne fin de soirée à toi.

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  10. C'est mimi tout plein cette paire de baskets
    Elles suggèrent si fort que le coeur craque pour un petit bout dont on ne voit même pas le visage
    Gros bisous Françounette

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Laissez moi des petits mots,
j'aime tant les lire... :-)

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FEMMES ET HOMMES

Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents,
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?

Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots

Julos Beaucarne