vendredi 16 novembre 2007

tu veux être libre...

... tu veux être libre de toutes les choses qui te tirent en arrière - la routine, l'autorité, l'ennui, la gravité. Ce que tu n'as pas encore compris, c'est que tu es déjà libre, et que tu l'as toujours été.
Richard Bach

6 commentaires:

  1. Bonjour Françoise...
    Mille merci pour ton commentaire... Et puis enfin de nouvelles personnes qui viennent me visiter, visiter mon Blog. Lorsque je l'ai créé, je n'ai pas fais attention, mais il n'est pas top au niveau de sa config. J'aimerais avoir un compteur de visite, pouvoir ajouter des trucs..? bon, tant pis, il est comme il est.
    Comme je t'ai expliqué je l'ai fait à un moment de ma vie ou tout allait très bien..... j'aurais du me méfier! A aller trop bien, c'est que quelque chose de terrible arrive derrière. J'ai vécu une année formidable mais où je me suis perdue.... Je ne me suis jamais sentie vieille... bien au contraire... si ça avait été le cas, ça m'aurait empêché de faire des bêtise d'ado... si tu lis mon blog, tu comprendras en lisant à travers les lignes. J'ai souffert, je souffre encore, fais souffrir mon mari, ma fille. Aujourd'hui tout se tasse. J'ai fais des choix, qui quelque part m'ont été imposé. Par contre j'ai fais le choix de changer de boulot, et ça c'est moi qui l'ai fais; La première fois en 37 ans, un vrai choix. Je ne sais pas si je me plante, si c'était judicieux, et déjà je regrette, mais j'en avais besoin de tourner cette page, de me "casser" d'aller en fait à l'encontre de ce que je voulais en égotiste... continuer dans la facilité d'un job que j'avais mais qui des jours me pesait. Début décembre, je retourne à mon vrai boulot de graphiste.. je suis un peu artiste dans l'âme... je me sentiras donc plus dans mon élément, la créa me manque, "accoucher de belles idées, de belles choses"...
    Je veux bien que tu mettes un lien vers mon bog car je ne sais comment me référencer, me faire connaître.
    Espérant ne pas t'avoir saoulé par ma petite histoire, je te laisse et te remercie pour tes mots...
    A très bientôt, je reviendrai

    Barbara

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  2. Il crie qu'il est libre.
    On l'est tous, à peu près comme le cerf-volant. . .
    Felix Leclerc

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  3. Juste ajouter qu'il n'est pas facile de couper le fil du cerf-volant. qui nous relie aux contraintes de toutes ces choses qui nous tirent en arrière - la routine, l'autorité, l'ennui, la gravité.
    Sinon j'ai trouvé très jolie l'image du cerf-volant

    bises

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  4. Bonjour Barbara,
    Voilà, j'ai mis ton lien chez moi.
    Tu ne m'as pas "saoulée" avec ton histoire ; au contraire, j'ai lu avec attention, et ce que tu as écrit ici, et ce que tu as écrit chez toi. Je vais aller te faire une petite visite à mon tour. A tout de suite. Bisous.

    Bonjour Lysounette
    Oui, moi aussi, je trouve l'image du cerf-volant très jolie. Libre, oui, mais avec un petit fil à la patte tout de même. Mais peut-être en avons-nous besoin de ce petit fil à la patte, pour nous rassurer, nous sécuriser...
    Pour revenir à la citation, je pense que l'on se crée parfois volontairement des contraintes, des contraintes pour donner des excuses à notre immobilisme.
    En fait, qu'est-ce qui nous empêche de nous sentir libre, qui nous empêche de nous sentir libre ? si ce n'est nous...
    Bisous ma puce. Je vais aller me balader chez toi aussi.

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  5. En accord avec toi Françoise sur le fait que l'on se crée parfois volontairement des contraintes,

    Quand à se les créer pour se donner des escuses à notre immobilisme? je ne serai peut être pas aussi affirmative, dans certains cas ou circonstances, oui.

    Oui nous pouvons mettre des freins à notre liberté

    Mais, pourtant, les contraintes existent bel et bien , notre vie en est semées , elles sont nécessaires, ou tout au moins inévitables, le tout étant de les accepter ( pas subir.)

    Je ne crois pas, comme tu le dis, que l'on puisse être libre totalement sans contraintes.(On s'en ajoute d'inutiles, c'est d'accord)


    Penser ainsi c'est aller au devant de beaucoup de déceptions, de frustrations.

    Mais je ne pense pas que tel est ton propos , ou si c'est le cas vite Françounette indique moi dans quelle galaxie se trouve ta planète et je t'y rejoins de suite .MDR !! J'accours .

    Ceci dit je crois être une personne indépendante , un peu rebelle , assez libre avec des jours paisibles et d'autres plus agités LOL !

    Bisous Françounette passe une belle soirée

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  6. Quelle bavarde cette Lysounette... lol. J'adore !
    Non, ma puce, je ne pense pas que l'on puisse être libre totalement sans contraintes, ça se saurait, mais je veux dire qu'en plus des contraintes dont on ne peut pas échapper, il arrive de nous en créer d'autres pour éviter d'avancer, par peur du changement.
    Et je veux dire que se sentir libre, c'est aussi dans la tête, beaucoup dans la tête. Tu ne crois pas ? On se met parfois des barrières où il n'y a pas lieu d'en mettre.
    Tu es une personne indépendante, un peu rebelle, assez libre avec des jours paisibles et d'autres plus agités, je confirme, et c'est ce qui fait ton charme, petite Lysounette.
    Gros bisous, et bonne soirée à toi aussi.

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j'aime tant les lire... :-)

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FEMMES ET HOMMES

Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents,
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?

Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots

Julos Beaucarne