Ce matin, de la pluie, du brouillard... pas terrible comme temps...
Aussi, je vous emmène dans mon petit coin de paradis, question de retrouver un peu de couleurs et de chaleur.
Vous connaissez presque tous mon petit coin de paradis. Pour ceux qui ne le connaissent pas, il s'agit d'une petite maison aux volets bleus (c'est pourquoi, je l'appelle très souvent ma petite maison bleue). Elle est située dans un petit village de la Haute-Loire. Cette petite maison me vient de ma mère et nous en avons hérité, ma soeur et moi.
C'est un lieu magique, où je vais me ressourcer le plus souvent possible.
Nous y passions nos vacances d'été avec nos parents lorsque nous étions enfants. Je ressens encore la présence de toutes ces personnes chères qui ont vécu ici et c'est doux à mon coeur.
Les autres vues ont été faites juste à quelques centaines de mètres de la petite maison.
C'était cet été au mois d'août.
Bonne journée à vous. Je vous embrasse.
jeudi 22 novembre 2007
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FEMMES ET HOMMES
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents,
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
merci de ces belles photos
RépondreSupprimerJolie maison, en effet
RépondreSupprimerOui. Merci Mo et Syl.
RépondreSupprimerBisous à vous deux.
Juste un petit coucou en passant chez toi et après être allée naviguer ailleurs......
RépondreSupprimerBisous à toi . On a étées assez bavardes pour ce soir...
C'est vrai qu'on a été bavardes !... mais il y en a d'autres dans le coin, des bavardes... elles se reconnaîtront... lol.
RépondreSupprimerGros gros bisous Marithé. A très vite !
Quelle jolie petite maison bleue
RépondreSupprimerJ'aime aussi les moutons !
Qui sont ces bavardes ?lol
Gros bisous et bonne nuit françounette
Tiens ! en voilà une de petite bavarde qui vient de passer... lol.
RépondreSupprimerBonne nuit ma Lysounette. Gros gros bisous.
c'est vrai que cette maison est pleine de charme je garde que de bons souvenirs de nos passages bisous BABS
RépondreSupprimerC'est vrai qu'on y a passé de bons moments là-bas. Et ce n'est pas fini Babs ! rendez-vous cet été si vous êtes dans la région ! Bisous.
RépondreSupprimerMoi aussi, Françoise, j'ai hérité d'une maison aux volets peints en bleu, comme la vôtre.Elle se trouve à Saint-Aygulf, quartier de Fréjus.
RépondreSupprimerJ'y ressens les mêmes émotions et les souvenirs m'accompagnent aussi quand j'y pénètre.
Un jour, je la montrerai aussi...
merci pour cette évocation.
Je serai heureuse de la découvrir.
RépondreSupprimerQuelle chance nous avons d'avoir ces petites "maisons bleues", empreintes de tous ces souvenirs si doux, où nous pouvons aller nous ressourcer et nous retrouver, n'est-ce pas ?
Merci Herbert.
Une "petite" maison ? :)) en effet, que du bonheur allié aux souvenirs..
RépondreSupprimerbisous
drôle ce retour en 2007 :)
C'est très sympa d'être venue jusque-là, Jane, j'apprécie :-)
SupprimerGros bisous.