Bonjour ! Pour une fois, je vous mets un lever de soleil pris hier matin de la fenêtre de mon bureau. C'était assez étrange cette traînée laissée par un avion dans le ciel, éclairée par le soleil levant.
Bonne journée à vous toutes et tous !
mercredi 30 janvier 2008
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FEMMES ET HOMMES
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents,
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
Ne vous laissez pas attacher,
ne permettez pas qu'on fasse sur vous des rêves impossibles...
On est en Amour avec vous tant que vous correspondez au rêve que l'on a fait sur vous,
alors le fleuve Amour coule tranquille,
les jours sont heureux sous les marronniers mauves,
Mais s'il vous arrive de ne plus être ce personnage qui marchait dans le rêve,
alors soufflent les vents contraires,
le bateau tangue, la voile se déchire,
on met les canots à la mer,
les mots d'Amour deviennent des mots-couteaux qu'on vous enfonce dans le coeur.
La personne qui hier vous chérissait vous hait aujourd'hui;
La personne qui avait une si belle oreille pour vous écouter pleurer et rire
ne peut plus supporter le son de votre voix.
Plus rien n'est négociable
On a jeté votre valise par la fenêtre,
Il pleut et vous remontez la rue dans votre pardessus noir,
Est-ce aimer que de vouloir que l'autre quitte sa propre route et son propre voyage?
Est-ce aimer que d'enfermer l'autre dans la prison de son propre rêve?
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent
Qui tissez des tissus de mots au bout de vos dents
ne vous laissez pas rêver par quelqu'un d'autre que vous même
Chacun a son chemin qu'il est seul parfois à comprendre.
Femmes et hommes de la texture de la parole et du vent,
Si nous pouvions être d'abord toutes et tous et avant tout et premièrement des amants de la vie,
alors nous ne serions plus ces éternels questionneurs,
Ces éternels mendiants qui perdent tant d'énergie
et tant de temps à attendre des autres des signes,
des baisers, de la reconnaissance
Si nous étions avant tout et premièrement des amants de la vie,
Tout nous serait cadeau
Nous ne serions jamais déçus
On ne peut se permettre de rêver que sur soi-même
Moi seul connais le chemin qui conduit au bout de mon chemin
Chacun est dans sa vie
et dans sa peau...
A chacun sa texture
son message et ses mots
Julos Beaucarne
très belle photo ma françoise ,l'autre jour ,je me suis essayée à prendre des photos de lever de soleil sur ma terrasse et j'ai eu tous les toits de maisons (hihihi)t'as de la chance d'avoir toutes ces belles vues .bonne et douce journée
RépondreSupprimerMerci ma douce Moghrama.
RépondreSupprimerJe passerai chez toi et sur les autres blogs ce soir. Là, je file travailler, je suis déjà la bourre... comme d'habitude... lol.
Passe une belle journée.
Je t'embrasse.
Bonjour, Françoise et bon courage pour cette journée.
RépondreSupprimerTu as l'art de saisir les instants insolites. Moi, je ne sais pas les saisir, ou, plutôt, je ne les vois pas.
Je t'ai transmis un message en retour et en direct,hier, mais il est revenu refusé.
Je sais où vont tes pensées en ce moment.
A très bientôt.
Bonjour Françoise,
RépondreSupprimerComment fais-tu pour saisir un tel lever du jour?
J'ai l'impression que le soleil est partout sauf chez moi.
Ce matin, temps gris, il pleutille, la lumière est éteinte, le jardin soupire et les oiseaux se taisent...
Oh lala.. où chercher la lumière? à défaut, je trouve un peu de votre amitié....
Bonne journée à toi.
Quoi de plus beau pour accueillir une journée quelle qu'elle soit, de travail ou de repos...
RépondreSupprimerC'est le ciel qui te salut et d'une très jolie manière.
Ici, ces jours ci, les matinées étaient un peu grises, pas de jolis couleurs comme chez toi...
Il suffit d'être patientes.
Mille bisous du soir et à demain.
Barbara
Tu as de si belles photos qui font rêver se retrouver devant un tel coucher de soleil avec l'^^etre aimé et ne plus penser a rien pfiouu
RépondreSupprimerj'adore tes photos françoise
Bisous
je crois que le bled porte bien son nom!! a moins que se soit toi et toi seule qui puisse saisir des instants pareils. magnifique!! bisou babs
RépondreSupprimerFrançoise, tu as un ciel magique... et cette trainée blanche de l'avion, ressemble à un long ruban....il n'a pas fait beau ce mercredi sur Toulouse... il pluviotait ce soir...
RépondreSupprimerMerci à vous pour tous vos gentils mots.
RépondreSupprimerC'est vrai que pour cette photo, j'ai eu la chance avec moi. J'ai ouvert mon volet, et c'était là, tout simplement, devant mes yeux... je n'ai eu qu'à attraper mon appareil et clic... dans la boîte !
Gros bisous à vous tous, et passez une bonne nuit. A demain.